10 janvier 1842 : autorisation donnée par Louis-Philippe pour l’acquisition par la commune de Hauville (selon acte notarié du 5 avril 1837) moyennant la somme de 7 720 F de l’ancien presbytère, provenant des héritiers Gréaume, pour servir à l’établissement d’une maison d’école, de la mairie et pour l’agrandissement du cimetière.

22 avril 1844 : supplique présentée par le CM de Hauville à Louis-Philippe pour l’attribution d’un secours de bienfaisance et d’utilité publique : « la commune de Hauville, d’une population de deux mille âmes, y compris celle du Landin, réunie pour le culte, l’une et l’autre limitrophes de la forêt de Brothonne, où il ne se trouve en grande partie que des ouvriers, pères de famille, et conséquemment tous malheureux, s’est trouvée dans la nécessité pour exécuter la loi sur l’instruction primaire qui est la base de la civilisation morale, de faire une acquisition le 5 avril 1937. Pour servir de logement à l’instituteur, de classes aux élèves et pour agrandir le cimetière, n’étant plus en rapport avec la population actuelle... Une dépense non moins importante et de la plus grande urgence se présente maintenant, c’est la maison presbytérale qui a besoin non seulement de réparations mais de réédifications indispensables, la petite cour sur laquelle elle est édifiée manque de clôture, le tout se trouve dans un état tel que le desservant n’y peut plus tenir, les habitants sont donc exposés à être privés d’un prêtre ce qui occasionnerait un mal affreux. ». Devis estimatif des travaux s’élevant à 1 592,70F.

- vente de terrains communaux et de l’ancien presbytère (1848-1850) :

13 juillet 1848 : délibération du CM (M. Mallet, maire) approuvant les plans, devis et estimations faites par M. Suzémont s'élevant à 2 045,17 F pour établir le logement de M. le desservant et de donner en contre-échange la maison et jardin occupés par ce dernier au moyen de réparations à faire estimées à 337,50 F (soit une dépense totale de 2 382,67 F). Autorise la vente de 4 portions de terrain appartenant à la commune. Fait part de l'impossibilité de changer la destination : « les réparations et réédifications à faire à la maison presbytérale devenaient de plus en plus urgentes pour lesquelles on eût pu aliéner les portions de terrain dont la vente était autorisée avec une destination spéciale, mais après quelques réflexions et sur l'avis de personnes ayant les connaissances requises, il fut au contraire reconnu que les travaux en question seraient loin d'arriver au but que l'on se proposait et que cette maison d'ailleurs insuffisante et pour laquelle cinquante francs étaient alloués chaque année au desservant à titre d'indemnité n'étaient pas non plus placée convenablement à cause de l'église... ». Souscription ouverte auprès des habitants et de la fabrique pour la construction d'une autre maison presbytérale s'élevant à 3 418 F. « Aussitôt que ces souscriptions ont été effectuées, l'entreprise de la construction a été faite selon le désir exprimé par les souscripteurs en utilisant le carré d'un ancien bâtiment à usage de écurie, cave et étable ». Total des dépenses s'élevant à 6 968 F. Pour le paiement de la somme restante (3 550F après déduction des souscriptions), le CM propose de : 1- vendre les trois dernières portions de terrain déjà autorisée par la délibération du 18 avril 1845 / 2- vendre l'ancien presbytère avec le terrain dépendant contenant 8 ares 70 centiares (section F, n° 256, 257 et 258 du cadastre).

Courrier adressé par M. Suzémont : « J'ai fait bâtir ici un presbytère par souscription. La souscription qui se monte à 3 428 F a été arrêtée à la fin de 1846 à cause de la cherté du pain : affreux malheur dans une commune si pauvre et si malheureuse que la nôtre (...) Outre les 3 418F de souscription, le conseil avait voté en avril 1845 la vente de quelques parcelles de terrain vagues sur une desquelles nous avons fait bâtir le nouveau presbytère. Ce qui reste à vendre est estimé à 1 000F. En fesant un presbytère neuf, le vieux devient inutile : la vente, d'après l'estimation, doit produire 2 035F. Le presbytère a été construit : il est estimé à 9 000F mais il ne coûte que 6 968F. J'y ai utilisé bien des matériaux qui m'ont été donnés. »

4 mai 1849 : délibération du CM reconnaissant la nécessité d’installer dans la cour du presbytère une cave, un bûcher et une citerne et de faire construire une écurie (nécessité d’un cheval du fait de la grande étendue de la commune).

31 mai 1849 : devis et plans des constructions de tous les êtres composant le nouveau presbytère de la commune de Hauville dressé par M. Suzémont, agent-voyer du canton de Routot : Récapitulation : le rez-de-chaussée élevé de deux marches au-dessus du sol. La maison ainsi que la cuisine élevées de 2 étages. Les distributions à rez-de-chaussée ainsi au levant une 1ère pièce de 10 pieds sur 13 ; au couchant, une pièce pareille...

19 août 1849 : enquête de commodo conduite par le juge de paix du canton de Routot au sujet du projet d’aliénation par la commune de Hauville de l’ancien presbytère et de ses dépendances et de trois portions de terrains communaux pour employer le produit de ces aliénations au paiement des dépenses occasionnées pour la construction d’un nouveau presbytère et des travaux supplémentaires qu’il restera à exécuter.

3 octobre 1849 : cahier des charges pour la vente des immeubles : « 1- Premier lot : une pièce de terre en nature de verger et jardin, au village de l’église, d’une superficie de 8 acres soixante-dix centiares, édifiée de deux corps de bâtiments : le premier à usage d’habitation servant précédemment de presbytère, est composé d’une cuisine, d’une salle à manger, de trois petites chambres et d’une cave, couvert partie en ardoise et partie en paille : il est d’une longueur de 22 mètres sur une largeur de 4,60 mètres et derrière, vers le nord, il existe une citerne d’une capacité d’environ 70 hectolitres et le second à usage de latrines couvert en paille. Cette propriété est closes de haies vives et de murs qui en dépendent. » Estimé à la somme de 1 835F par M. Suzémont, agent-voyer du canton de Routot. / 2- Deuxième, troisième et quatrième lots : parcelles de terrain en herbe.

22 novembre 1849 : nouvelle estimation revue à la baisse par M. Frédéric Édouard Taupin, géomètre arpenteur. Presbytère évalué à 1 750F.

30 décembre 1849 : vente à la bougie et adjudication du premier lot à M. Pierre Nicolas Tournache, cultivateur à Hauville. M. Marc Clair Bénard, maire de Hauville.

16 mars 1849 : mémoire des travaux exécutés et des fournitures faites par M. Martin Lefebvre, entrepreneur de maçonnage, demeurant à Hauville pour l’établissement d’une maison presbytérale élevée à la demande de M. le maire et de M. le curé sur un terrain appartenant à la commune conformément au plan et devis dressé par M. Suzémont, agent-voyer de Routot. Montant total du mémoire s’élevant à 5 516,20 F.

31 mai 1849 : devis supplétif estimatif des travaux à exécuter pour terminer le presbytère, dont bâtiment à usage de cave, bûcher et écurie, s’élevant à 1 478 F.

8 février 1850 : travaux de maçonnerie à exécuter au presbytère s’élevant à 302,50 F. Le maire de Hauville demande l’autorisation de traiter de gré à gré avec un entrepreneur consciencieux.

25 mai 1850 : métré des travaux exécuté par Armand Boulette entrepreneur de maçonnerie à Routot.

- travaux au nouveau presbytère (1878-1880)

13 mars 1878 : devis estimatif des travaux de clôture présenté par M. Campagne, entrepreneur à Caumont pour 1002F. Dégâts causés aux bâtiments qui en dépendent par l’ouragan du 12 avril 1876.

- location du nouveau presbytère (1848-1933)

7 janvier 1908 : entre M. Letailleur Victor, Henri, Étienne, maire de Hauville et M. Crétaigne Ernest Auguste, prêtre autorisé par monseigneur l’évêque d’Évreux.

15 juin 1928 : entre M. Ducreux Henri maire et M. Moulin Prosper, curé de la commune

9 mai 1933 : entre M. Ducreux Henri maire et M. Delan Gustave, curé de la commune

- acquisition du presbytère pour la construction de la maison d’école (1836-1843)

10 novembre 1836 : extrait du registre des délibérations du CM annonçant la mise en vente de la propriété de Pierre Gréaume, anciennement à usage de presbytère, consistant en une cour masure, jardin, close de murs, plantée et bâtie, contenant 36 acres 90 centiares (cadastre section C n° 262 à 266) : « notre commune est depuis longtemps privée d’un cimetière d’une grandeur suffisante à sa population et celle du Landin y réunie pour le culte, d’un local pour servir d’école primaire, d’un logement pour l’instituteur ainsi que d’une mairie ou maison commune… Cette propriété est parfaitement convenable à remplir le but proposé ci-dessus pour parvenir à son acquisition aux fins de la rendre praticable aux usages ci-dessus relatés… ». Experts nommés par les membres du CM pour procéder à l’estimation de l’immeuble : M. Billard, propriétaire et membre du conseil d’arrondissement demeurant à Rougemontiers, M. Condor, maire à Routot, M. Marin Bréauté maire à Guenouville. M. Chaumont, juge de paix du canton de Routot. Lancement d’une enquête commodo et incommodo sur l’acquisition projetée.

10 janvier 1837 : PV d’estimation qui s’élève à la somme de 8 300F.

5 avril 1837 : acquisition de l’ancien presbytère par la commune de Hauville par acte passé devant Me Goullé, notaire à Routot.

11 février 1840 : devis des travaux à exécuter pour l’aménagement d’une mairie et l’agrandissement du cimetière présenté par M. Lefebvre : « cet appartement d’une longueur intérieure de 7,50 mètres sur une largeur de 4 mètres offre dans le mur formant le côté nord une ouverture qui devra être bouchée et remplacée par une cheminée… ». S’élève à la somme de 1 844,20F. Devis jugé insuffisant ne mentionnant pas les travaux à faire à la maison de l’instituteur et à la classe + ajout de la construction de latrines et clôture de la cour d’école.

12 mars 1842 : devis supplémentaire s’élevant à 4 813,05 F présenté par M. Lefebvre. Lettre du maire, M. Jean Savalle, au ministre de l’instruction publique : sollicite « l’autorisation de se procurer une maison, une cour pour l’instituteur, une école primaire ainsi qu’une mairie et d’ajouter une petite portion de terrain pour l’agrandissement du cimetière. Somme totale représentant le prix de l’acquisition de l’ancien presbytère + les travaux d’aménagements : 16 789 F.

3 avril 1862 : extrait des délibération du CM rappelant « Vu la nécessité d’entreprendre les travaux à exécuter pour servir à l’établissement d’une maison d’école, d’une mairie et à l’agrandissement du cimetière, de débarrasser les lieux des ustensiles, d’un pressoir placé à l’endroit destiné pour la maison d’école, d’une grande, d’une petite porte et d’un petit hangar avec leur charpente, de murs en bauge tombés en ruine ayant servi de clôture à la dite masure et de 8 arbres essence de peuplier et conséquemment de procéder à leur vente… » Suite au PV d’estimation des objets dressé par M. Billard, expert, vente des biens par adjudication publique aux enchères dont le produit total s’élève à 550F.

20 juillet 1842 : PV d’adjudication des travaux

16 juin 1843 : PV de réception des travaux par Étienne Suzémont, agent-voyer du canton de Routot, résidant à Bourg-Achard. Décompte des travaux exécutés par M. Martin Lefebvre, entrepreneur à Hauville et Amand Boulet, entrepreneur à Routot. Mémoire des travaux s’élevant à 4 561 F.

- travaux communs à l’école et au presbytère (1850-1898)

1er décembre 1850 : Construction d’un mur de séparation entre la cour d’école et la propriété de M. Adonis Toutain. Mandat de paiement émis en faveur de M. Jean-Pierre Labarbe, terrassier à Hauville et M. Labarbe Jacques, couvreur en paille à Hauville

12 mai 1892 : le conseil départemental de l’enseignement primaire approuve le projet de construction d’un bûcher, d’un cellier, d’une buanderie, d’un préau couvert et de murs de clôture à l’école de garçons.

26 juillet 1892 : plans et devis dressés par l’architecte M. Marical, architecte à Rouen, pour un montant de 3 500F. Autre devis estimatif s’élevant à 4 610F. M. Louis Désiré Deschamps, marchand-boucher à La Bouille se porte acquéreur de la mitoyenneté du mur séparant sa propriété de l’école de garçons, mur reconstruit à neuf en briques.

6 mai 1894 : PV de réception définitive de construction de communs pour l’école et le presbytère et murs de clôture faite par René Martin, architecte, expert auprès des tribunaux qui a pris la succession du cabinet Marical. Montant total s’élevant à 4 826, 07 F.

- construction d’une nouvelle école de garçons (1872-1899)

9 juin 1872 : rapport de l’inspecteur d’académie sur l’exiguïté de l’école de garçons (salle qui contient 85 élèves au lieu des 33 prévus). Préconise l’agrandissement de l’école par l’aménagement de la salle du conseil municipal et de trouver un autre emplacement pour la salle de mairie.

20 juillet 1882 : délibération du CM approuvant les plans et devis relatifs à la construction d’une école de garçons et à l’appropriation de l’école actuelle pour l’établissement d’une école publique de filles.

21 août 1882 : rapport de l’Inspection académique retournant le dossier jugé incomplet : manque un état de la situation financière, la coupe et l’élévation des privés, le plan du mobilier scolaire. Dépense exagérée : 44 166,85F.

7 mars 1887 : nouveau rapport de l’inspecteur d’académie pointant l’absence d’école publique de filles à Hauville qui compte 1083 habitants alors que l’article 11 de la loi du 30 octobre 1886 oblige toute commune de plus de 500 habitants à se doter d’une école de filles.

- construction d’une école de filles dans l’ancienne école de garçons (1892-1910)

22 juin 1894 : rapport de l’inspecteur d’académie au préfet sur la situation scolaire désastreuse à Hauville.

16 janvier 1896 : délibération du CM prenant acte des sommations de la sous-préfecture de Pont-Audemer sur la situation tout à fait défectueuse de l’école de garçons et l’absence d’une école publique de filles. Le CM s’engage à : 1- créer une école publique de filles qui serait installée à la place de l’école de garçons / 2- exécuter les travaux d’appropriation et d’achat de matériel nécessaire pour cette installation / 3- transférer sur un autre emplacement l’école de garçons par voie de construction neuve. Rappelle la mauvaise situation financière de la commune qui l’a empêchée jusqu’à présent d’engager ces dépenses. En 1882, la municipalité avait chargé M. Barre, architecte à Rouen, de préparer un devis pour la construction d’une nouvelle école de garçons et pour l’installation d’une école publique de filles. Les devis n’ayant pas été approuvés, ils ont été retournés à la commune. Depuis cette époque, la commune a financé des travaux urgents (dont la construction de communs à l’école et au presbytère). Demande l’autorisation au Préfet d’unifier toutes les dettes de la commune.

23 février 1903 : deux devis dressés par Albert Leclercq, architecte à Pont-Audemer : 1- transformation de l’ancienne école-mairie en école de filles (7 145,75F) / 2- Édification d’une maison d’école avec logement d’instituteur et mairie (29 481,53F)

15 mars 1903 : délibération du CM décidant de faire des économies sur le matériel de l’école de garçons (récupération de l’ancien poêle et de la bibliothèque de l’école actuelle) et de créer une dépense supplémentaire à l’école de filles en ajoutant du mobilier scolaire et du matériel d’enseignement qui avait été omis dans le premier projet : « tout a été prévu : l’appareil de chauffage, la bibliothèque, les porte-manteaux dans les vestiaires et les rayons pour paniers à provisions. Les cabinets d’aisance seront convenablement installés. Une haie d’épine tiendra lieu de clôture pour l’école de garçons mais suffira, étant donné la disposition des lieux, pour en empêcher l’accès. »

8 juillet 1905 : délibération du CM approuvant le devis supplémentaire pour des travaux non prévus et nécessaires à l’école de filles s’élevant à 3 122,90F, « sauf la démolition et le remplacement des cheminées qui ne seront que réparées et décide qu’il sera mis des appuis en fer aux trois grandes fenêtres du 1er étage et le percement d’une trappe pour permettre l’accès au grenier du logement de l’institutrice ».

Création de l’école publique de filles qui entraîne la fermeture de l’école privée tenue par les religieuses de la Providence d’Évreux depuis 1855.

- cimetière (1810) :

8 mai 1810 : lettre de l’évêque d’Évreux à M. le baron de Chambaudouin, préfet de l’Eure : « L’ancien presbytère de la paroisse de Hauville, canton de Routot, a été vendu et il est maintenant occupé par un cabaretier. Lorsque cette maison était la demeure des curés, elle avait avec raison une ouverture sur le cimetière ; mais aujourd’hui qu’elle est devenue un cabaret, peut-elle conserver cette ouverture ? Nous ne le pensons pas ; il en résulte trop d’inconvénients et même une trop grande indécence. Le desservant de Hauville a eu l’attention de s’adresser à vous au mois de juillet 1807 et sa pétition a été enregistrée dans vos bureaux sous le n° I-697 sans recevoir de réponse… ».

24 juillet 1810 : pétition du desservant, Tranquet : « il n’y a aucune close dans le contrat de vente qui donne droit à M. Gréaume, successeur de Barthélémy Savalle, oncle du maire, d’avoir une porte sur le cimetière qui est conservée par les faveurs et sans doute sur un faux exposé du maire… »

- construction d’un bureau de poste (1910-1914) :

31 juillet 1911 : délibération du CM et projet de bail relatif au transfert des services du bureau de poste dans l’ancien logement de l’institutrice. Logement vacant depuis plusieurs années puisque c’est un couple d’instituteurs qui sont installés à Hauville.

14 février 1912 : approbation du directeur des postes et télégraphes de l’Eure.

22 février 1912 : avis favorable de l’inspecteur d’académie à la réserve que le bûcher reste la jouissance de l’école. Durée du bail fixée à 18 ans. Loyer fixé à 600F.

3 décembre 1912 : plans, devis et cahier des charges relatifs au projet de construction d’un hôtel des postes à Hauville.

14 mars 1913 : cahier des charges de la construction et aménagement de l’hôtel des postes établi par Alphonse Grout, géomètre-architecte à Routot. Montant total s’élevant à 11 503,98F.

Aménagement d’une partie de l’ancien logement de l’école : cuisine et salle, vestibule, deux chambres et couloir pour la construction d’un bureau avec salle d’attente et cave au-dessous + 2 chambres à l’étage. Buanderie, bûcher et cabinet d’aisances. M. Letailleur Victor, maire de Hauville. Travaux exécutés par M. Jouffin, entrepreneur à Pont-Audemer suite au décès de M. Sauvage qui avait été adjudicataire des travaux de maçonnerie en avril 1913. M. Henri Dailly, entrepreneur de menuiserie à Routot, adjudicataire des travaux de menuiserie le 15 mai 1913.